• UN POETE... que j'aime


    Les grands automnes descendent de la montagne
    en silence
    Jusqu'aux abeilles qui abandonnent nos dernières roses
    Où la rosée du matin
    A déjà le parfum de la neige.

    extrait de "L'oiseau cœur"

    QUI EST IL ?

    Jean Mambrino
    © Enitharmon Press

    Traducteur de poètes (Hopkins, Kathleen Raine), ami de Jules Supervielle et de René Char, familier épistolaire de Georges Simenon, Jean Mambrino a publié près d'une vingtaine de recueils de poésie où "les âmes se frôlent à coups d'aile" pour reprendre les termes de la poétesse russe Tsevetaïeva.

    Critique littéraire et dramatique à la revue Les Etudes, après avoir collaboré au Times Literary Supplement et à la BBC, il a publié Le veilleur rougeen 1965, La ligne de feu (éditions José Corti), et autres titres paradoxaux dédiés à ce qui est "ouvert" en nous et ce qui ouvre à bien au-delà de nous, de l'Aube dans les paupières à l'Abîme blanc (éditions Arfuyen, prix Nathan Katz, 2005) ou Comme un souffle de rosée bruissant(éditions Artfuyen)

    "Pour sentir ce qu'avouent les roses en se fânant" : avec ses vers extraordinaires : "Qu'est devenu le parfum de la rose (...) Il est passé dans les poumons de celle qui le portera".

    http://www.canalacademie.com/L-oeuvre-poetique-de-Jean-Mambrino.html


    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :